Il y a 100 bléssés graves par jour sur la route et les usagers vulnérables payent un lourd tribu. Parmi ces 100 bléssés graves, il y a statistiquement 14 cyclistes. Si on pouvait en plus prendre en compte le ratio nombre de cyclistes sur nombre total d’usagers ou plus rigoureusement le temps passé par les cyclistes dans la circulation par rapport au temps passé par l’ensemble des usagers, le résultat obtenu serait à l’évidence catastrophique. Malheureusement ces pondérations ne sont pas connues.
Si on ajoute que 75% des accidents graves des cyclistes sont des atteintes à la tête et que 60% se produisent en roulant en groupe. Si on prend également en compte que, d’après une statistique 2014 au niveau de la Ligue Auvergne, que 40 % des accidents sont liès à des problèmes d’infrastructure et 40 % à des manques d’attention des cyclistes.
Il en résulte quelques actions majeures susceptibles de réduire efficacement le nombre d’accidents grave chez les cyclistes :
– PORTER LE CASQUE
– ORGANISER LES DEPLACEMENTS EN GROUPE , RESPECTER LES REGLES RESTER TRES ATTENTIFS.
– CONTRIBUER A L’AMELIORATION DES INFRASTRUCTURES
Ce sont les actions prioritaires développées au niveau du CODEP 43 et de ses clubs.
La tache s’avère difficile mais l’enjeu est majeur ! !
ALORS TOUS IMPLIQUE POUR LA SECURITE, priorité de la FFCT et des CLUBS et priorté avant tout de chacun des adhérents.
Jean DELOLME
Chaque 24 heures sur nos routes, 100 blessés graves.
Mobilisons-nous !
La Sécurité routière lance une grande campagne de mobilisation pour lutter contre une réalité trop méconnue : le nombre de blessés sur les routes baisse beaucoup moins vite que celui des personnes tuées.
Un accident peut durer toute une vie. C’est le message du nouveau film de la Sécurité routière réalisé avec sept grands blessés de la route comme acteurs témoins. Ce film, « Combien de temps... », est diffusé à la télévision et sur Youtube à partir du vendredi 13 février 2015, veille des grands départs en vacances d’hiver.
Sur la route, des vies fauchées et des blessés à vie
En levant le voile sur les blessures irréparables que peut provoquer une seconde d’inattention sur la route, la Sécurité routière poursuit plusieurs objectifs : sensibiliser les Français au trop grand nombre de personnes blessées sur la route (900 chaque 24 heures dont 100 gravement), et permettre à chacun de diffuser à son entourage un appel à la vigilance pour éviter de blesser ou d’être blessé.
« Combien de temps allons-nous continuer à croire que réparer les corps peut suffire à réparer les vies ? »
Ces mots, en voix off, accompagnent les premières images du film de la Sécurité routière. Cyril, Franck, Alan, Maryse, Aurélien, Marius et Sébastien en sont les acteurs témoins. Tous sont des grands accidentés de la route soignés à Garches dans les Hauts-de-Seine ou à Ploemeur dans le Morbihan. Ces blessés graves ont accepté, avec leurs proches et leurs soignants, d’être filmés dans leur quotidien pour que le message diffusé par la Sécurité routière soit le plus vrai possible, sans artifice ni tricherie. À l’écran, aucun d’entre eux ne parle pour laisser toute la force à l’image mais tous ont également accepté de raconter leur accident, leur histoire, leur vie dans une interview vérité, accessible à tous sur Internet.
Une définition européenne du blessé grave vient d’être mise en place. Elle s’appuie sur l’échelle de gravité des blessures utilisée couramment par les professionnels de santé. L’objectif est de compléter l’éclairage apporté par le fichier national des accidents de la route. Celui-ci est renseigné par les forces de l’ordre qui continuent d’enregistrer les blessés hospitalisés dont elles ont connaissance, à plus ou moins 24 heures.
En France, le fichier des hôpitaux ne signale généralement pas si les blessés sont victimes d’accident de la route. Il a donc été demandé à l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (IFSTTAR) de construire une méthodologie visant à mieux connaître les blessés graves de la route comme le souhaite l’Europe.
Cette étude estime à 35 000 le nombre de blessés graves, par an, dans notre pays. 70 % d’entre eux sont des usagers vulnérables : 15 000 usagers de deux-roues motorisés, 10 000 automobilistes, 5 000 cyclistes et 4 000 piétons.
La majorité de ces personnes a été blessée à vie dans des accidents de la route survenus seuls, c’est-à-dire sans collision avec un tiers. La jeunesse est particulièrement touchée : chaque année, 14 000 personnes blessées dans un accident de la route ont moins de 30 ans.
Risque cardio vasculaire
Blessures graves
Comite sécurité 29 janvier 2015
Compte rendu commission sécurité
Bilan sécurité routière 2014
Proposition d’aménagement de la Croix de l’Orme